Politique. The Economist aimerait que M.Obama s’intéresse enfin à la
Syrie. Somalie, en puissance, elle se transforme en chaos. Tout le monde se bat
avec tout le monde, y compris entre opposants. Le terreau et fertile pour le
Jihadisme. Demain, une guerre qui s’étend au Liban, à Israël, à l’Iraq, à la Jordanie… ?
Chypre subit une crise de la dette. Mais elle serait
peut-être riche en pétrole. Cela pourrait lui permettre de payer ses dettes. Mais
transporter le pétrole est compliqué et demande des investissements coûteux. Et
si le plus simple était de passer par la Turquie ? Et s’il y avait là une
raison de se réconcilier, pour les populations de l’Ile ? Quant à la
Turquie, l’Europe semble d’un seul coup la trouver sympathique. Et si Kurdes et Turcs se réconciliaient pour devenir Européens ?
Quant à la Chine, son armée aurait organisé des bataillons
de pirates informatiques qui alimentent son industrie avec le savoir-faire
occidental. Politique d’intérêt national.
L’Europe veut taxer les transactions financières. The
Economist n’est pas d’accord. Idem pour les bonus des banquiers : ils vont augmenter leurs salaires ! En revanche, l’Europe serait
favorable aux intérêts du Whisky écossais. Elle le protège, abat les
barrières douanières à l’étranger, et lui ouvre les marchés européens (La France
est le plus gros consommateur mondial).
Vers une nouvelle vague de fusions / acquisitions ? « Beaucoup de patrons s’attendent maintenant à
une faible croissance des pays développés. Ils pensent qu’ils ont tiré tout ce
qui était possible des réductions de coûts. Une grosse acquisition est le
meilleur moyen d’améliorer les affaires, pensent certains. » The
Economist rappelle « les études biannuelles
de KPMG n’ont jamais trouvé plus de 34% d’acquisitions rentables ».
Santé publique. Certains Etats américains légalisent la drogue. Cela permet de contrôler sa consommation. C’est l’occasion d’une expérimentation. (Une bonne idée pour réduire les déficits du pays ?) L’activité spatiale de la NASA ne sert plus à rien, sinon à
engraisser quelques lobbies industriels. Et si on lui avait trouvé une activité
honnête : surveiller et détruire les météorites qui nous menacent ?
Dans la rubrique, l’individualisme d’antan a du plomb dans l’aile,
on essaie de modéliser la façon dont « les
sociétés changent leur esprit collectif ». Pour cela, on veut utiliser
le « big data » craché de toutes parts. On découvre aussi les bénéfices
des virus et que « beaucoup de créatures (y compris les humains) ne sont
pas auto-suffisantes mais dépendent de la symbiose ». En équipant les
plantes de certains virus, on pourrait leur donner des propriétés utiles (par
exemple résistance à la sécheresse).
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