Tolèrerait-on une coupure d'électricité ou d'eau ? Si l'on accepte les grèves de la SNCF, c'est probablement qu'elle n'est pas essentielle. Ou seulement essentielle pour une piétaille qui n'a pas voix au chapitre.
Il en est de même du marché. On le laisse jouer partout où le chaos est acceptable. Mais, lorsqu'il s'agit de la guerre, ou même de la route, nous devenons communistes.
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