J'entendais un hospitalier dire : je n'aurai bientôt plus de lits, il faut confiner.
Cela pose un intéressant problème. Le confinement est-il lié à un nombre de lits ? Si c'était le cas, quel est le coût indirect (arrêt de l'économie) de la "bonne gestion" des hôpitaux, l'obsession de nos derniers gouvernements ?
Une question plus compliquée serait le cas d'une crise réellement violente (sans même imaginer les conséquences de celle de 29), résultat d'un confinement un peu trop efficace. Comment jugerait-on les mesures prises actuellement ? Où l'on voit que les décisions à prendre ne sont évidentes qu'après les faits.
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