- Nos défauts sont en fait nos qualités, mal placées. Le rôle de l’animateur du changement est de déplacer la structure sociale de manière à faire que ces défauts n’en soient plus. Qu’on les perçoive comme ce qu’ils sont : des caractéristiques propres à nous. Autrement dit des qualités, qui doivent être développées.
- C’est parce que nous pensons que ces qualités sont des défauts que nous avons peur de tout ce qui les mettrait en évidence. Donc du changement. (Un avertissement à tout instigateur de changement.)
jeudi 30 octobre 2008
Cultivons nos défauts
Ce matin, j’entends la pianiste Hélène Grimaud citer André Gide, « il faut cultiver ses défauts ». Il me semble que :
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire