- Application d’une sorte de théorème qui dit que lorsque vous rendez un service, vous vous faites un ennemi ? Tout service doit être accompagné d’une contrepartie. Nous n’aimons pas être l’obligé de quelqu’un.
- Le banquier serait-il l’image même de l’individualiste, qui ne voit jamais plus loin que son intérêt ? Qui ne peut concevoir sa dépendance et sa responsabilité vis-à-vis de la société.
- Confirmation d’un précédent billet : le risque majeur que court une entreprise est de ne pas avoir le moyen de sa stratégie ? Trop d’entreprises sont dépendantes de crédits à court terme, or les sources de ces crédits ne sont pas fiables. Espérons que l’entrepreneur s’en souviendra une fois la crise passée, et qu’il sera à nouveau courtisé par le banquier.
Compléments :
- L’étude du CERF : http://www.lescreateurs.org/081029-quid-des-22-milliards.pdf
- Sur l’instinct grégaire des entreprises : Succès de la Logan.
- Sur l’importance de ne pas dépendre de financements externes : Crise : que faire ? rendre l’entreprise flexible.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire