Le 7 octobre dernier Neoxia avait organisé une présentation sur la conduite du changement. Comme lors de mon exposé à l’AFTAA, j’ai été surpris de la concentration des participants. Un des dirigeants de Neoxia était étonné de la quantité de notes qu’ils ont prises. Ai-je une telle assurance que j’écrase toute velléité de contestation ? Suis-je devenu un donneur de leçons ? J’espère que non.
Voici les questions dont je me souviens :
- Un participant, qui est au milieu de la fusion des entreprises qu’il a acquises, a été surpris de m’entendre dire que le changement était à effet de levier, c'est-à-dire qu’il ne coûte rien.
- J’avais pris des exemples venant du secteur privé. Le changement dans le secteur public n’obéit-il pas à d’autres règles ?
- J’ai dit, d'une manière que je croyais provocante, que la résistance au changement était une bonne nouvelle. En effet, si l’on veut utiliser l’organisation pour porter le changement (et pas s’épuiser à le tirer), il faut trouver ce qui la motive. La résistance au changement donne une piste : ce qui résiste est ce qui compte. Un participant m’a demandé que faire quand il n’y a pas de résistance. Ça semblait être le cas dans son entreprise, et il en était désolé !
- On m’a reproché de ne pas avoir parlé du rôle primordial de la communication dans la conduite du changement. Et d’avoir fait du changement une peinture riante et enthousiaste. Mais le changement n’est-ce pas du sang et des larmes ? Des licenciements et des drames ?
Mes réponses :
- Changement, communication et crise
- Mon entreprise ne résiste pas au changement, que faire ?
- Changement et secteur public
- Le changement ne coûte rien
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire