Le président Obama est surprenant :
- Il donne des chiffres, il s’engage : il veut réduire le déficit américain par 2, remettre au travail plusieurs millions d’Américains. Pourtant on ne lui demandait rien : il n’est même plus en campagne (alors il parlait vaguement de « changement »). D’ailleurs, « performance », « évaluation » n’est-ce pas que pour les autres ?
- Au lieu d’actes de foi, il explique ses raisonnements. La guerre d’Irak et les réductions d’impôt de George Bush ont creusé le déficit, sans guerre et avec des impôts on devrait le combler. On est dans la situation de la crise de 29, il veut adapter aux circonstances actuelles ce qui a permis de rétablir le pays (Obama Provides Details of His Plan to Create 2.5 Million Jobs)…
- Au lien de s’entourer d’amis, il a recruté ses ministres pour leurs compétences (Obama construit son équipe (2)).
- Il ne cherche pas à passer en force. Il serait favorable à la nationalisation des banques, mais, le pays n’y étant pas disposé, il épuise les alternatives (Will he or won't he?).
Obama serait-il un démocrate ?
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