Pourquoi ? Parce que ce que véhiculent ces médias n’est pas favorable à la banque. En particulier une chronique de ce qui se dit dans ses
ascenseurs a 250.000 « followers », alors que le compte officiel de Goldman n’en
a que 3500.
Voici une nouvelle qui va intéresser Hervé Kabla. En
attendant son avis, définitif, je soupçonne qu’elle illustre deux choses.
- Tout d’abord la puissance des médias sociaux, qui sont devenus le relais principal du bouche à oreille, le moyen naturel de communication des sociétés humaines.
- Ensuite, les techniques de communication de crise, qui, justement, partent de ce que la communication passe par le bruit de couloir, et cherche à donner à l’entreprise le moyen de l’occuper.
Dans le cas de Goldman, je soupçonne qu’il va falloir un
génie pour réussir. S’ils le trouvent, les patrons de la banque feraient bien de lui
réserver un bonus plus gros que le leur…
Compléments :
- REGESTER, Michael, LARKIN, Judy, Risk Issues and Crisis Management: A Casebook of Best Practice, Kogan Page, 3ème edition, 2005.
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