Prendre des photos freine mes promenades. Et en rentrant chez moi, je les transvase dans mon PC. Petite, mais importante, gratification : j’ai appris récemment, d’ailleurs, qu’il était bon pour la santé d’avoir de tels plaisirs.
Cela m’a surtout amené à me demander pourquoi je prenais les
photos que je prends. Comment je les choisissais. Réponse du moment : je
suis très sensible à la lumière (bien plus que mon appareil), et aux lignes
géométriques des bâtiments. De même
que j’écris ce blog pour savoir pourquoi je l’écris, je prends des photos pour
savoir pourquoi j’en prends. La raison ne décide pas, elle explique.
Je soupçonne d’ailleurs que ce qui fait l’intérêt d’une photo, ou d’une œuvre d’art, est une forme de paradoxe : quelque chose qui surprend la rationalité. Et à laquelle la rationalité ne trouve pas de solution.
Je soupçonne d’ailleurs que ce qui fait l’intérêt d’une photo, ou d’une œuvre d’art, est une forme de paradoxe : quelque chose qui surprend la rationalité. Et à laquelle la rationalité ne trouve pas de solution.
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