Schadenfreude est le mot anglais pour "se réjouir du malheur d'autrui".
C'est une explication que l'on donne, à la campagne, à ce que tant de personnes âgées se retrouvent aux enterrements.
En ces temps d'incertitude l'histoire de Boris Johnson nous apporte une rare occasion de se réjouir. Va-t-il finir en bouc émissaire ? Les bavures et les coups tordus à la Trump se succèdent. Bientôt des photos de "tricky Johnny", avec comme légende : "lui achèteriez-vous une voiture d'occasion ?".
Mais, la messe n'est pas dite. Car il semble avoir la capacité de retourner ses opposants, qui n'ont probablement pas beaucoup de leçon d'éthique à lui donner. On dit que c'est le haut qui donne l'exemple. Mais le haut est aussi à l'image de la nation...
Voilà le changement comme le décrit ce blog, quelque-chose de mystérieux. Qu'est-ce qui fait qu'un groupe de personnes se mobilise et devient assez fort pour changer le cours des événements ?
(En tout cas ses opposants, de tous bords, semblent tous se présenter comme des modèles de vertu sourcilleuse : "nous ne sommes pas Boris Johnson". Un indice quant au "monde d'après" ?)
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