The best job in the world, a dit Boris Johnson, en démissionnant de son poste de premier ministre.
Nos dirigeants n'ont pas un moment à eux, mais ils sont ivres de bonheur. Dans ces conditions peut-on leur demander de penser ? Ils vivent dans l'instant.
Chez nous, depuis les années 70, leur préoccupation semble le pays, comme s'il vivait en autarcie. M.Macron est peut être un changement. Lui paraît, au contraire, vouloir s'échapper du pays. Peut-être a-t-il la conviction qu'il sait tout à son sujet, et qu'il ne s'agit plus, maintenant, que d'appliquer un plan parfaitement conçu ?
Que faudrait-il espérer ? Comme chez Hegel, une troisième phase du changement : un gouvernement qui n'ignore ni le monde, ni le pays ?
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