Après "off shoring" il y aurait "friend shoring".
On ne commercera plus qu'avec les pays qui ne risquent pas de faire défaut. On parle même d'un internet fragmenté... Après la société de la performance et de la "supply chain" du moins disant, on entre dans la société de la confiance ?
Il serait intéressant d'étudier la question sous son aspect théorie des réseaux. Il est possible que ce qui fait leur résilience tienne aux liens de chaque noeud avec ses voisins immédiats. Ce n'est que lorsque chaque écosystème est solide qu'il peut envisager avec confiance d'établir des contacts un peu plus distants : il sait que ses risques sont limités ?
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