Auto bailout backers offer to cut $25 billion size explique que les démocrates veulent sauver General Motors. Les républicains, eux, laissent sombrer.
Pas de chance, Barak Obama démissionne, les sénateurs démocrates sont à 50 contre 49. Heureusement, quelques sénateurs républicains ont des usines GM sur leurs terres.
On voit que l’Américain devient un spécialiste de la nationalisation : un prêt (25md ? on débat du montant) semble devoir être accompagné de garanties : prise de participation, de façon à ce que si l’affaire est redressée le contribuable rentre dans ses fonds. Les parlementaires américains vont-ils faire subir la méthode Bagehot à GM ? (Comment faire payer le banquier ?)
En tout cas, je leur suggérerais de demander à la nouvelle équipe dirigeante un plan d’action crédible. C’est une des bonnes pratiques des affaires : ne mettre de l’argent que dans un bon business plan.
Par ailleurs, l’article montre que GM avait réduit de 43,5% ses effectifs aux USA entre 2005 et 2008. À croire que les syndicats américains ne sont pas aussi redoutables que le dit The Economist (Le syndicat, mal américain). Il n'aurait probablement pas fallu beaucoup de temps à GM pour ne plus compter que des dirigeants américains. Mais alors quel état aurait sauvé GM ?
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