vendredi 12 juin 2009

Ennemis que l’on mérite

J’avais cru comprendre que l’Iran était un totalitarisme sanguinaire. Le film Persépolis montrait que l’on pouvait y parler assez ouvertement, se rendre à l’étranger et en revenir... Bref, pas vraiment l’Union soviétique. Un article parle d’une élection présidentielle - empoignade fort démocratique, où l’on pèse le pour et le contre de l’attitude va-t-en-guerre du gouvernement actuel.

Un journaliste de France Info explique que c’est l’intransigeance de George Bush qui avait fait le précédent gouvernement. L’attitude conciliante de B.Obama pousse l’Iran à une attitude conciliante.

Illustration certaine de la prédiction auto-réalisatrice de R.Merton, et, peut-être, d’une de mes thèses selon laquelle le monde anglo-saxon tend à voir comme ennemi tout ce qui est fermé à son commerce et à son influence.

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