The Economist confirme, et complète, ce que dit Vote Européen :
- Le parlement est en train de prendre beaucoup de pouvoirs.
- Les comités y sont forts, ils seraient dominés par des lobbies.
- Les parlementaires ne « représentent qu’eux-mêmes », ils suivent ce qu’ils croient bon, et non ce que désire leur parti d’origine (les travaillistes seraient allés jusqu’à voter contre la possibilité pour la Grande Bretagne de s’exempter d’une directive limitant le nombre d’heures travaillées). Ce que renforce le mécanisme du consensus, qui fait, d'ailleurs, que les débats européens n’auront jamais le « drame » (et l’attrait) des féroces débats anglais.
Voilà pourquoi le parlement européen enchante les fédéralistes, mais n'intéresse pas les électeurs. The Economist recommande que les députés européens soient désormais étroitement dépendants des intérêts et parlements nationaux, comme au Danemark.
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