dimanche 28 juin 2009

Stress américain

Mild and bitter : la déprime mineure nous empêche de persévérer dans l’erreur ; les Américains, qui sont des drogués de l’optimisme, de la confiance en soi et des objectifs démesurés, s’acharnent bien trop longtemps dans l’erreur ; d’où de grosses dépressions (le record mondial).

Il me semble aussi qu’à la malédiction américaine s’ajoute l’individualisme : l’homme seul est idiot, c’est la société qui le rend intelligent. Non seulement l’Américain choisit des objectifs invraisemblables, mais encore il se retire les moyens de les atteindre. Pas étonnant qu’il soit obligé de créer des subprimes, des Enron, et la comptabilité de son entreprise.

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