Dans sa discussion de La mort, Vladimir Jankélévitch dit quelque-chose de curieux. Lorsqu'elle parle de la mort, la raison aboutit à des conclusions absurdes. Ce qui conduit à des comportements absurdes. A mettre fin à ses jours, par exemple, ou à se comporter comme un Nazi. Et, c'est le philosophe qui est le premier touché, la raison, son outil de travail, le rend fou.
Pour Vladimir Jankélévitch la mort est ce qui permet la vie. Et la vie est merveilleuse. Et elle est éternelle : rien ne sera jamais plus pareil, du fait que nous ayons été. Et elle a un sens, qui nous sera peut-être révélé, dans un éclair : "simple comme bonjour et bonsoir ; si simple que nous nous demanderons, le jour où nous saurons, comment nous n'y avions pas pensé plus tôt".
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