"Gas crunch" dit le Financial Times. L'offre ne suit pas la demande. Augmentation de prix sévères à prévoir pour les entreprises consommatrices de gaz et les ménages.
Décidément, cela n'arrête pas.
Il est possible que cela signifie que les épidémies fassent faire à l'économie du yoyo, et qu'elle n'y soit pas adaptée. (D'autant que le yoyo encourage la spéculation ?) Il est aussi possible que la fameuse "supply chain" qui faisait des miracles pour répartir les productions de biens là où le marché donnait les prix les plus bas soit en train de montrer ses limites. D'autant que les nations semblent tendre à réserver leurs ressources pour leur propre industrie.
Faut-il, en urgence, repenser la "globalisation" ?
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