Plus personne ne nie le réchauffement climatique, disait un ami. Il en voulait pour preuve que l'on ne voyait plus de contradicteur dans les débats de réseaux sociaux. A quoi un autre ami répondait que c'était normal, il avait été récupéré par le grand capital, qui y voyait son intérêt.
On peut aussi parler de communautarisme : il ne sert à rien de contredire quelqu'un, il ne changera pas d'opinion. Chacun chez soi.
Et à quoi servent les débats d'idées ? On entend de plus en plus dire (y compris chez France Culture) que l'intellectuel aboie, la caravane passe. Ce qui n'est pas très rassurant.
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