Dans mon bilan de santé des économies de début de crise, j’avais laissé l’Europe de l’Est dans une situation quasi désespérée (Europe de l’est : bombe à retardement ?). Que lui est-il arrivé ?
Cette situation n’était pas homogène, mais une menace planait sur beaucoup d'États : leur économie dépendait des banques étrangères, qui risquaient de se replier sur leur territoire d’origine. Vu de loin, la question semblait bien plus critique que celle de la Grèce.
Mais il n’y a pas eu de drame. Exemple de solidarité sociale, même internationale ?
- Les États les plus touchés ont procédé à des plans de rigueur redoutables. Mais le peuple n’a pas bronché, pas plus que les fragiles coalitions gouvernementales.
- Le FMI et la BCE, notamment, sont venus au secours des banques européennes, afin d’éviter leur désertion.
Grâce à la chance, à un sain jugement, et à une aide amicale, l’Europe de l’Est a conjuré le désastre.
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