Je me suis toujours demandé pourquoi les pauvres étaient joyeux, et les riches sinistres.
Colas Breugnon, le livre de Romain Rolland dont parle un précédent billet, a peut-être une réponse à cette question. Quand la vie est imprévisible, quand elle est sujette aux catastrophes, on vit au jour le jour, et on apprend à tirer le meilleur de ce qu'elle a à apporter. Et on traverse les catastrophes avec bonhommie, et fatalisme.
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