lundi 19 octobre 2009

Amadeus

Exploration de l’œuvre de Milos Forman (suite). Mon opinion ne s’améliore pas.

J’ai trouvé ce film extrêmement désagréable, comme le rire qu’il prête à Mozart. Le médiocre jaloux du génie, et qui le rend fou.

Peut-être est-ce une parabole ? Parlerait-elle du régime soviétique dont il vient ? En tout cas cela évoque bien trop les manœuvres des couches « politiques » aussi bien de l’état que de l’entreprise pour ne pas mal tomber un jour où je veux me changer les idées.

Compléments :

  • Du coup, je me suis rappelé Vol au dessus d’un nid de coucou, que j’ai vu il y a très longtemps, la société en asile de fous ? Et Larry Flynt ? L'affrontement de la liberté et des forces répressives de la société ?
  • Mozart semble pouvoir être sauvé par le vaudeville et par le peuple (bizarre pour un art de cour) : le peuple comme source du bien, le mal = les puissants qui veulent nous imposer leur morale ?
  • Les amours d’une blonde

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