Barnes et Noble, un spécialiste américain de la vente de livres et ancien énorme concurrent d’Amazon, n’est plus que l’ombre de lui-même (il vaut un peu plus d’un pourcent d’Amazon…). Il cherche un repreneur.
Occasion de revenir sur le changement que connaît l’édition : sa grande affaire semble le livre électronique, et les lecteurs, les librairies ne seraient maintenant que des lieux où discuter littérature ou culture. Barnes et Noble semble désirer se transformer radicalement, et, curieusement, l’article observe que : « de tels investissements lourds ne s’entendent pas bien avec l’obsession du court terme de la bourse ». L’intérêt de l’actionnaire ne serait-il pas, après tout, l’intérêt de l’entreprise ?
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