Échanges de mails avec une amie, qui me dit en substance : nous allons manquer de pétrole, comment mener le changement qui s’impose, alors que personne ne s’en préoccupe ?
Ma réponse, qui la déprime, est qu’il y a tellement de catastrophes imminentes, qu’on ne s’occupera de celle-ci que lorsque nous serons au bord du précipice.
Depuis, j’ai eu une idée plus positive : « la méthode du vaccin ».
Il est probable que tout ce qui nous menace appartient au même type de problèmes, systémiques et s’attaquant aux fondations mêmes de notre être social, et que lorsque nous saurons en résoudre un, même petit, nous saurons tous les résoudre, même grands.
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