la France métropolitaine aisée (25% de la population) qui est celle des grandes métropoles; la France périphérique intégrée (11%) qui regroupe les communes périurbaines ou rurales socialement intégrées ou aisées ; la France métropolitaine fragilisée (16%) qui s’apparente aux banlieues populaires ; La France périphérique fragilisée (48%) qui rassemble des communes périurbaines ou rurales fragiles ou populaires.
François Hollande serait sur des bases solides partout,
alors que Nicolas Sarkozy aurait mécontenté ceux qui
croyaient en lui (en 2007, il était vu comme « le candidat du peuple »), et dépendrait maintenant d’un électorat volatil.
Ce que ce découpage a d’étrange pour moi est l’image qu’il
donne de la France. 64% de sa population est qualifiée de « fragile », et les 11% « d’intégrés »
tendent à voter FN. Les seuls qui semblent heureux sont les « aisés ».
Les gagnants des dernières décennies sont-ils une minorité d’urbains fortunés ?
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