- Nous contraignons la nature, alors qu’il faut la laisser suivre son cours. Pour cela nous devons faire sauter les blocages organisationnels qui l’en empêchent. Et pour résoudre ce type de problème, il faut faire appel à la société : l’homme n’est efficace qu’en groupe. On retrouve ce que j’appelle les techniques « d’ordinateur social ». Et le « donneur d’aide », l’animateur du changement par vocation, qui tire son pouvoir de ce qu’il élimine les dysfonctionnements organisationnels. Tout simplement parce qu’il sait tisser le lien social nécessaire au travail efficace. Son talent le plus utile est certainement de savoir éviter la DCA de ceux qui se croient à tort criminellement incompétents, et qui ne veulent pas que ça se sache (« déchet toxique »).
- Voilà pourquoi il suffit parfois qu’un Ronald Reagan (Ronald Reagan catalyseur du changement) ou une Sarah Palin (Sarah Palin et Gregory Bateson) apportent un peu de confiance en lui à un peuple pour que ce peuple « conduise le changement » sans plus d’aide.
- Voilà pourquoi les généreuses intentions de Laurence Parisot (L’erreur de Laurence Parisot ?) vont à contre courant.
samedi 13 septembre 2008
À lire absolument III
A lire absolument donne un exemple inattendu d’effet de levier. Nous sommes dans un modèle de pensée de type « lutte des classes », dans lequel le travailleur est l’axe du mal. Cercle vicieux qui nous amène à détruire notre économie ! Or, la nature du dit travailleur est de faire le bien, de vouloir bâtir, pour pouvoir être fier de ce qu’il a fait.
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire